Organisée par l'association Founoun Sufetula, la 8ème édition du festival International du Printemps de Sbeïtla se tiendra du 22 au 25 mars prochain sous le signe de "Sbeïtla, 20 siècles d'histoire".
Cette nouvelle édition du festival sera rehaussée par la participation de plusieurs troupes artistiques tunisiennes, arabes et européennes.
« Sbeïtla, 20 siècles de gloire »
Très attendue par les habitants de la ville et notamment les jeunes , cette nouvelle édition du festival vient électriser la ville historique via une panoplie de spectacles de danse, de musique et de théâtre ainsi que par Comme à l'accoutumée, la cérémonie d'ouverture aura lieu le dimanche 23 mars vers 10h du matin au superbe théâtre antique en présence de quelque 3000 spectateurs.
Accompagnée par des musiciens tunisiens, français et italiens, les mômes de Sbeïtla chanteront leur ville dans différentes langues, c'est « L'hymne de Sufetula » qui annoncera la grande fiesta de Sbeïtla.
En sus du spectacle d'ouverture, les avenues et boulevards de la ville seront égayés par le Grand Carnaval du Printemps , avec la participation de centaines de jeunes déguisés et de troupes folkloriques africaines et locales ainsi que des majorettes..
Quant aux matinées du festival, elles seront consacrées aux travaux d'ateliers de formation artistiques au profit des jeunes .
Afin de propager le fête, les spectacles du festival seront accueillis par plusieurs espaces de la ville : Maison de culture, maison de jeunes, centre des enfants Sourour et complexe d'enfance, théâtre antique et complexes touristiques.
D'autre part, une journée touristique est prévue pour le mardi 25 mars , avec la participation des agences de voyage et des festivaliers de Sbeïtla. Pendant cette journée l'on visitera la fameuse ville Hidra (Ammaedra) et on fera le tour des forêts de la région de Kasserine dans une ambiance festive.
A cette occasion, l'exposition photographique itinérante « le Printemps de Sbeïtla , le rêve volant » fait de nouvelles étapes à Gerone, Mirida et Barcelone (Espagne), Louvain-la-Neuve (Belgique) et Montréal (Canada). Ces photographies de Sufetula sont pour : Mounir Mabkhout, Ramzi Derwich, Cédric Dordevic, Noël Duval et Jean-Pierre Sahuc.
En marge de la nouvelle session du festival, « Le Printemps de notre école » est une version « scolaire » du Printemps qui égayera les écoles, collèges et lycées de Sbeïtla du 10 au 15 mars. Cependant, « La Journée de de Sbeïtla » sera tenue le mardi 18 mars à la capitale (Avenue Bourguiba et m.c. Ibn Khaldoun).
Devenue par excellence un messager de Sbeïtla, l'exposition photographique itinérante « le Printemps de Sbeïtla, le rêve volant » fait de nouvelles étapes à Gérone, Mérida et Barcelone (Espagne), Louvain-la-Neuve (Belgique) et Montréal (Canada) ; des étapes accentuant la grande tournée de cette exposition qui a déjà atterri en Pologne, en France, en Argentine,en Belgique, au Maroc, en Allemagne et en Tunisie.
Le Printemps de Sbeïtla se tient avec le concours du Ministère de la Culture et de la Sauvegarde du Patrimoine,du Gouvernorat de Kasserine, du Ministère du Tourisme et de l'Institut Français de Coopération.
Source : Le printemps de Sbeïtla
Cette nouvelle édition du festival sera rehaussée par la participation de plusieurs troupes artistiques tunisiennes, arabes et européennes.
« Sbeïtla, 20 siècles de gloire »
Très attendue par les habitants de la ville et notamment les jeunes , cette nouvelle édition du festival vient électriser la ville historique via une panoplie de spectacles de danse, de musique et de théâtre ainsi que par Comme à l'accoutumée, la cérémonie d'ouverture aura lieu le dimanche 23 mars vers 10h du matin au superbe théâtre antique en présence de quelque 3000 spectateurs.
Accompagnée par des musiciens tunisiens, français et italiens, les mômes de Sbeïtla chanteront leur ville dans différentes langues, c'est « L'hymne de Sufetula » qui annoncera la grande fiesta de Sbeïtla.
En sus du spectacle d'ouverture, les avenues et boulevards de la ville seront égayés par le Grand Carnaval du Printemps , avec la participation de centaines de jeunes déguisés et de troupes folkloriques africaines et locales ainsi que des majorettes..
Quant aux matinées du festival, elles seront consacrées aux travaux d'ateliers de formation artistiques au profit des jeunes .
Afin de propager le fête, les spectacles du festival seront accueillis par plusieurs espaces de la ville : Maison de culture, maison de jeunes, centre des enfants Sourour et complexe d'enfance, théâtre antique et complexes touristiques.
D'autre part, une journée touristique est prévue pour le mardi 25 mars , avec la participation des agences de voyage et des festivaliers de Sbeïtla. Pendant cette journée l'on visitera la fameuse ville Hidra (Ammaedra) et on fera le tour des forêts de la région de Kasserine dans une ambiance festive.
A cette occasion, l'exposition photographique itinérante « le Printemps de Sbeïtla , le rêve volant » fait de nouvelles étapes à Gerone, Mirida et Barcelone (Espagne), Louvain-la-Neuve (Belgique) et Montréal (Canada). Ces photographies de Sufetula sont pour : Mounir Mabkhout, Ramzi Derwich, Cédric Dordevic, Noël Duval et Jean-Pierre Sahuc.
En marge de la nouvelle session du festival, « Le Printemps de notre école » est une version « scolaire » du Printemps qui égayera les écoles, collèges et lycées de Sbeïtla du 10 au 15 mars. Cependant, « La Journée de de Sbeïtla » sera tenue le mardi 18 mars à la capitale (Avenue Bourguiba et m.c. Ibn Khaldoun).
Devenue par excellence un messager de Sbeïtla, l'exposition photographique itinérante « le Printemps de Sbeïtla, le rêve volant » fait de nouvelles étapes à Gérone, Mérida et Barcelone (Espagne), Louvain-la-Neuve (Belgique) et Montréal (Canada) ; des étapes accentuant la grande tournée de cette exposition qui a déjà atterri en Pologne, en France, en Argentine,en Belgique, au Maroc, en Allemagne et en Tunisie.
Le Printemps de Sbeïtla se tient avec le concours du Ministère de la Culture et de la Sauvegarde du Patrimoine,du Gouvernorat de Kasserine, du Ministère du Tourisme et de l'Institut Français de Coopération.
Source : Le printemps de Sbeïtla
